En janvier dernier, Orléans Express, le principal transporteur interurbain du Québec, a considérablement réduit son offre de service en région pour reprendre le chemin de la rentabilité. Six mois plus tard, les effets de cette décision se font toujours ressentir sur le terrain. Philippe Chicoine n’empruntait pratiquement jamais les autobus d’Orléans Express avant janvier dernier. Électricien dans les mines du Nord-du-Québec, il doit aujourd’hui monter dans un des véhicules nolisés de l’entreprise une ou deux fois par mois pour se rendre à son lieu de travail. Originaire de Percé, il a toutefois élu domicile à Rimouski, ce qui lui permet de profiter du service dispensé par le transporteur interrégional.

Lire l’article complet sur Le Devoir