Depuis le 1er juillet 2017, les Canadiens ne peuvent plus déduire le coût de leurs titres mensuels d’autobus, de métro ou de trains de banlieue dans leur déclaration de revenus. Pour les contribuables, l’abolition de ce crédit fiscal se traduira par une diminution des remboursements d’impôt de 150 à 200 $ par an pour ceux qui habitent en banlieue ou en ville et qui achètent des cartes mensuelles de transport en commun toute l’année. Une telle ristourne permettait de compenser en partie l’augmentation constante des tarifs. Cette mesure existait depuis 2006.
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